lundi 16 mars 2015

EN ATTENDANT LE DON D'UBIQUITÉ


Le bien-être des animaux, qu’ils soient ou non destinés à la boucherie, est une préoccupation que nos producteurs ne prennent pas à la légère. En plus d’être inacceptables, les cas de maltraitance dont on entend occasionnellement parler créent un tort considérable à l’industrie.

En Grande Bretagne, un parlementaire de la Chambre des communes, préconise l’installation de caméras de surveillance dans tous les abattoirs du pays, une mesure qui, selon lui, serait peu onéreuse.


Les vétérinaires attitrés à cette surveillance ne pouvant être partout à la fois, il estime qu’ils ne sont pas en mesure d’exercer un contrôle suffisamment rigoureux des cas de maltraitance animale.

L’Honorable Henry Smith souligne qu’aucun des actes qui ont été rapportés dans les médias britanniques n’avait été détecté par les vétérinaires gouvernementaux. Il rappelle également qu’une majorité de supermarchés et de grossistes de l’alimentation réclament avec insistance l’implantation de cette mesure.

Selon un tout récent rapport publié par le Farm Animal Welfare Committee, l’installation de caméras de surveillance dans les abattoirs comporte plusieurs avantages, mais qu’il ne s’agit pas d’une panacée. La vidéosurveillance ne peut d’aucune façon remplacer les programmes d’inspection.

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